Édito
oH, LA FLEMME.
Mais bon :
Ouverture du dictionnaire (extrême effort); déambuler : se promener ça et là, marcher sans but. Dans les trois films proposés pour ce cycle Éloge de la paresse, des personnages déambulent dans la vie, en se réappropriant les espaces et leur temps, un temps nouveau, celui de la paresse, de la non-productivité, un temps qui lutte et qui résiste contre la société, sa productivité et ses normes. Des espaces qui se créent pour, justement, reprendre le temps de penser.
Résistons au travail et à ses lois ! Érigeons la paresse en vertu !
Toutes les séances du cycle
![](https://i1.wp.com/www.videodrome2.fr/wp-content/uploads/3-26.png?fit=300%2C218&ssl=1)
Éloge de la paresse | Slacker de Richard Linklater
Dans le cadre du cycle cinéma Éloge de la paresse
Slacker de Richard Linklater | 1990 | États-Unis | 1h37 | Vostfr
![](https://i1.wp.com/www.videodrome2.fr/wp-content/uploads/1-45.png?fit=300%2C218&ssl=1)
Éloge de la paresse | Permanent Vacation de Jim Jarmusch
Dans le cadre du cycle cinéma Éloge de la paresse
Permanent Vacation de Jim Jarmusch | 1980 | États-Unis | 1h15 | Vostfr
![](https://i2.wp.com/www.videodrome2.fr/wp-content/uploads/2-44.png?fit=300%2C218&ssl=1)
Éloge de la paresse | Un Homme qui dort de Bernard Queysanne
Dans le cadre du cycle cinéma Éloge de la paresse
Un Homme qui dort de Bernard Queysanne | 1974 | France, Tunisie | 1h07