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Du mardi 25 au vendredi 28 octobre, Videodrome 2 vous propose de poursuivre l’exploration de l’œuvre de Carmelo Bene qui avait commencée en début de mois.

Avis aux amateurs de curiosités, d’émotions intenses et de gestes cinématographiques audacieux, du 4 au 16 octobre, Videodrome 2 vous propose deux temps forts détonants : Une rétrospective Carmelo Bene ainsi que la 1ère édition du Marseille Underground Film Festival.

Comme annoncé, Videodrome 2 vous invite à (re)découvrir sa sélection de rêves, d’ovnis, de dystopies, de voyages dans le temps et d’univers post-apocalyptiques… La Science-Fiction est à l’honneur pour cette rentrée 2016 !

Du 6 au 10 septembre, Videodrome 2 vous invite à découvrir sa sélection de rêves, d’ovnis, de dystopies, de voyages dans le temps et d’univers post-apocalyptiques… La Science-Fiction sera à l’honneur pour cette rentrée 2016 !

Reprise du cycle SF du mardi 27 septembre au samedi 1er octobre 2016!

Reprise de programmes et sorties récentes en salle
Pour se rafraichir la mémoire, aiguiser les sens et repartir de plus belle dans une nouvelle année de programmation au Videodrome 2, nous vous proposons pour cette fin d’été de (re)découvrir quelques-uns des films programmés l’année dernière et nos trois coups de cœur des films sortis en salle en 2015.

Retrouvez les archives des séances cinéma de Videodrome 2, de début février 2015 à mi-juin 2016.

« Et mon rôle, ici, consiste à faire du festival ce qu’il devrait être toujours… À lui donner un esprit qui n’est pas l’esprit de palmarès. C’est-à-dire à en faire une réunion, un contact d’esprits qui s’enracinent très loin les uns des autres, et une sorte de No Man’s Land du mur des langues. » Jean Cocteau, de Cannes, 1954.

En 1974, François Bayle définit le terme et le concept d’acousmonium et en fait l’instrument de la mise en scène de l’audible. Il désigne ainsi un dispositif constitué d’un ensemble de « projecteurs sonores » orchestrant l’image acoustique.
Bayle construit son dispositif comme une série d’ écrans sonores multiphoniques, variés en calibres, distances, directions, l’aidant à organiser l’espace acoustique selon les données de la salle, et l’espace psychologique selon les données de l’œuvre.
Le cinéma expérimental est quant à lui, impossible à circonscrire historiquement. Il est une immanence, une étendue immense du territoire qui s’ouvre au regard et qui recouvre en fait des pratiques très diverses, n’entrant dans aucune des deux catégories dominantes : le documentaire ou la fiction.

Voilà l’été.

Comme l’an dernier, juillet verra notre salle accueillir un type de programmation différente de celle du reste de l’année : le Festival Images contre nature, puis nous allégerons notre proposition de projections, avant la transhumance estivale et notre fermeture annuelle. La reprise verra notre grille évoluer : nous envisageons d’atténuer le caractère événementiel de nos projections, de faire venir les films de nos programmations à l’occasion de plusieurs séances.