« Et je sais, mais je ne vois pas.
Maintenant, je vois, mais je ne sais pas.
Je sais, mais je ne sais pas.
Maintenant, je sais que tu ne sais pas.
Et je vois que vous ne voyez pas. » (B)
Be Maybe May de Olivier Jonvaux
2021 | France | 12 min
Dans une station-service au crépuscule, un chat blanc parcourt son territoire et exprime ses pensées. Son double robotique l’avertit d’un danger et une série d’événements se succèdent où le rêve semble se confondre avec la réalité.
3 fois toi de Jean-Louis Accettone
France | 4 min
Un visage triple apparaît. Trouble et troublant, le visage en triptyque nous parle de la présence et de l’oubli, de notre enfance, de notre identité. Le personnage nous emmène vers un monde onirique, intime et poétique.
Les corps dansants de Élisa Monteil, La Fille Renne, Laure Giappiconi
2019 | France | 6 min
Les corps dansants est une ode joyeuse et sexuelle à la sororité.
Run version vertical de Stuart Pound
2019 | Angleterre | 5 min
Le clip source est tiré d’un film culte de science-fiction où le monde est littéralement tourné sur le côté. La piste audio est coupée avec l’image en mouvement et superposée 5 fois les pistes de parole et d’effets réverbérantes.
Bunker de Isabel Pérez del Pulgar
2022 | France | 7 min
Le bunker forme un écosystème en soi. Un espace fortifié et protégé face à un extérieur ouvert et précaire. Un système avec ses propres règles et règlements qui se nourrit de l’extérieur qui l’entoure et le domine. Un engrenage défectueux.
Lucina Annulata de Charlotte Clermont
2021 | 4 min
Ensoleillé. Des séquences sémantiques guident le regard, un regard qui se trouve parfois soulevé, propulsé vers le bas, ensuite trop haut ou immobile devant un plan méconnaissable et pourtant si familier. Les images, liées par des échos de palettes chromatiques et de calques linéaires, défilent au rythme d’une voix qui rappelle une incantation. Sacré.
Until I remember a dream I had before de Santiago Colombo Migliorero
2019 | Argentine | 2 min
Nous ne pouvons pas accéder à nos rêves directement. Seulement ce dont nous nous souvenons en rêvant éveillé. En y ajoutant de la narration et du sens à ce qui était, au départ, multiple et simultané, les images et les évocations deviennent signifiantes. La référence première se perd au fur et à mesure que de nouvelles références apparaissent.
Sang Titre de Jean-Luc Godard
2019 | Suisse | 10 min
Ce film fut envoyé par Godard comme une adresse au public palestinien pour la biennale /si:n/. La dernière phrase du film, prononcée par le réalisateur, a résonné dans le cœur des Palestiniens qui résistent inlassablement à l’Occupation depuis 1948 : « Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni davantage de réussir pour persévérer ».
Informations pratiques
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Entrée libre et gratuite
La billetterie ouvre 30 minutes avant le début de chaque séance.
Les séances du festival Instants Vidéo

35e Instants Vidéo | Maintenant, je vois, mais je ne sais pas
Programme de courts métrages
Durée de la séance : 50 min

35e Instants Vidéo | Comme une boule de flipper
Programme de courts métrages
Durée de la séance : 1h